☎ ANDREANI INNOCENZO LORENZO (JAMIE DORNAN)

(c) tsouri.
24 ANS ♣ MARIÉ ♣ DIRECTEUR D'UNE AGENCE DE MANNEQUINAT ♣ LA FELICITA ? NON CREDO !

▬ tou es têtou comme oune moûle... non, yé pas dit oune moule ! oune moûle ! comme oune âne si tou préfères !

▬ danser ; j'adore danser ! La danse est pour moi un moyen d'expression. j'ai toujours adoré la musique et la danse en est un art complémentaire. Je n'ai donc aucune aversion pour cet art si pur. Je préfère cependant des rocks endiablé à un freestyle. La danse avec une partenaire est quelque chose de génial. Surtout un tango très caliente. Il n'est donc pas rare que l'on me voit bouger en rythme avec de la musique. Ne soyez pas étonné !

▬ les femmes ; y'a t'il besoin de développer ? Je suis amoureux des femmes depuis que mon premier amour a disparu. J'ai un amour particulier pour ma femme, mais je suis un amoureux des femmes en général. Leurs courbes, leurs manies, leur recherche éperdue de l'amour et du bonheur, la façon dont elle se refuse pour mieux se donner... Je ne suis qu'un homme.

▬ une porte toujours bien fermée ; autre de mes bizarreries préférée : je m'assure toujours que la forme soit bien fermée. Et je fais ça trois fois. Vous avez bien compris, après avoir verrouiller la porte j'essaye trois fois de la rouvrir pour être vraiment sûre que personne ne puisse entrer chez moi. Paranoïaque vous dites ? Vraiment, vous croyez ?

▬ dessiner ; je passe mon temps à dessiner. Quand j'étais en cours au lieu de prendre des notes, pendant la pause déjeuner sur ma serviette au lieu d'écouter mon interlocuteur, chez moi sur un Canson. Je dessine un peu tout ce qui me passe la tête. J'aime aussi beaucoup dessiner mes mannequins et mes idées pour les shootings. Chacun son art.

▬ chocolat ; mon indispensable. J'adore ça. Sans chocolat je ne peux pas vivre. je suis sans arrêt en train d'en manger, carré par carré, je vide environ deux tablettes à la semaine. J'en mange quand je suis stressé, quand je suis heureux, quand il n'a rien de spécial. Bref, un peu tout le temps. C'est ma façon à moi de me libérer de tout ce qui se passe dans ma vie, autour de moi. Le chocolat est mon antidote à tout et à rien.

▬ cuisiner ; ma passion. Quand ma moitié n'est pas à la maison et que je n'ai aucune demoiselle à mon bras, il m'a bien fallu trouver un passe temps. La cuisine s'est tout naturellement détachée du lot. J'aime mitonner des petits plats plein d'épices et de mélanges. J'aime le sucré-salé et je m'en donne à cœur joie. Par contre je déconseille à une personne fragile au niveau de l'estomac de tenter de gouter mes plats : c'est assez spécial quand même.

▬ le sport ; un moyen de me défouler. Je vais régulièrement courir, je fais de la corde à sauter, je prends les escaliers. Ces derniers temps j'aime me maintenir en forme. c'est surtout un moyen d'exorciser ma douleur d'avoir perdu l'homme de ma vie. Courir, sauter, taper, puis recommencer. Je cours en moyenne 2 heures par semaine, je fais un peu de judo et je fais du yoga chez moi. Il faut que je m'occupe l'esprit et que j'entretienne mon corps. Quand même !

▬ l'eau ; je déteste l'eau. l'océan, la piscine... inutile de m'y forcer, sinon j'ai la gifle facile. Je haïs l'eau depuis mon plus jeune âge. depuis que ma mère à failli me noyer dans la baignoire enfaites. Certes après toutes ses années elle essaye encore de se faire pardonner, et je ne lui en tiens pas rigueur. Mais l'eau et moi ne sommes pas vraiment de bonnes amies. Pour simple exemple, je ne prends jamais de bain. Une douche suffit, j'ai bien trop peur dès que l'eau arrive au dessus de mes chevilles. Enfin... je fais parfois une exception quand il s'agit d'un bain avec ma tendre moitié.



▬père castor ? c'est qui loui ? il raconte dé histoires ? comme moi ? imposteur !
« Rappelles moi pourquoi je dois sourire à l'idée d'aller habiter à Naples ? A part le fait que ça te fait plaisir ? » Mon adorable épouse sourit. Nous étions installés en première classe d'un vol de la Alitalia en direction de Naples. Nous allions nous installés là bas suite à une grosse promotion pour mon âme sœur. Moi j'étais le patron d'une agence de mannequin très ouverte vers l'international et j'allais ouvrir une filiale de mes bureau de Rome, à Naples. Ainsi nous allions rejoindre ma belle-sœur, que je n'avais vu en tout et pour tout que trois fois et qui avait toujours vécu ici. Je l'avais rencontré le jour où ma petite amie m'avait présentée à ces parents, je l'avais revu le jour de notre mariage et le lendemain. Autant dire que je n'avais aucun rapport avec ma belle-sœur. Mais mon épouse ayant du temps à rattraper avec sa sœur... Voilà donc pourquoi nous étions. Depuis mon enfance, je n'avais jamais quitté Rome. J'avais vécu à là-bas depuis mon enfance. A l'âge de 5 ans, j'avais rencontrée celle qui était restée, pendant près de quinze ans, ma meilleure amie. Malgré nos grandes différences, nous nous étions toujours compris. Elle vivait avec sa mère alors que son père et sa sœur vivait à Naples, suite à un divorce difficile. Moi je venais d'une famille unie, soudée dans l'adversité et je lui avais offert toute la tendresse que je pouvais offrir. Je me souvenais des dizaines de fois où elle était restée dormir chez nous, où elle avait dîner à la maison, comme si elle avait été un membre de la famille. Mes parents l'avaient adorés depuis les premiers jours.
Moi aussi je l'avais adoré. Mais au lycée tout avait changé. Ma meilleure amie était devenue une très jolie jeune femme et moi j'avais commencé à m'intéresser à d'autre filles. Nous nous étions plus ou moins brouillés, j'avais connu mon premier amour, premier vrai baiser, première fois, première rupture. Elle avait été sage, tout en s'ouvrant aussi à un premier amour. Un pauvre type d'après moi, mais bon... Je n'avais plus rien à y dire. Nous nous étions réconciliés lors de notre bal de promo. Son cavalier l'avait planté en plein milieu de la soirée pour une plus blonde et plus plantureuse et moi j'avais délaissé quelques instants ma cavalière pour ramener ma meilleure amie chez elle. Je me souviens exactement de ce que j'ai ressenti quand je l'ai reconduit jusqu'à sa porte. Elle m'avait regardé, un peu perdu, et je l'avais embrassé. Tout avait été... différent. En l'embrassant, j'avais ressenti quelque chose que je n'avais jamais ressenti avant. Pourtant je l'avais planté là et j'étais allé rejoindre ma cavalière. Pourtant dès le lendemain matin, j'étais retourné la voir, je lui avais dit que je voulais nous donner une chance, parce que je croyais en nous. Elle n'avait d'abord pas voulu puis elle s'était laisser faire, en douceur. Ainsi notre histoire avait commencé. Nous avions pris notre temps. Elle m'avait accordé le droit de prendre son cadeau le plus précieux, sa virginité, plus d'un an et demi après le début de notre nouvelle histoire. Mais je ne l'avais pas brusqué. Je la comprenais. Et puis je l'avais épousé. Épouser sa meilleure amie, c'était assez spécial non ? Pour moi pas.
Alors voilà où j'en suis : je suis dans un avion en direction de Naples avec la femme de ma vie, sans savoir ce que l'avenir me réserve. Moi, angoissé ? Jamais... Ou presque.

▬ ma aller, plou dé blague ! tou es qui en fait ?
.pseudo : Miss.Nutella
.âge : J'approche de mes 16 ans (aa)
.nana ou p'tit mec : moi j'suis une girl
.double compte : nope, pas encore.
.commentaire : d'utile, non. Perso, la nana derrière son ordi elle est pas trop d'accord avec vous hein x) Qui as dit que l'Osservatore est... So sex' ! ? Fin, je me tais avant de passer par la fenêtre avant même d'être validée, n'est-ce pas ? J'aime pas l'Italie. (a)

Pas de crises cardiaques, ce n'est que Jamie hein (a)
Bon, mon histoire craint, déjà, ça commence bien.

Matteo, tu vas me faire regretter de ne pas avoir pris une demoiselle ^^

J'ai envie de dire fiche finie.
J'aime rarement ce que j'écris en faites...

Bien sur que tu me gardes un lien. Nan mais.

Grazie.