▬ à savoirStella est née à Rome, c'est la benjamine de sa famille. Ses parents ont divorcés alors qu'elle avait 2 ans et elle est restée vivre à Rome alors que son père et sa sœur aînée ont déménagés. Elle a eu peu de contact avec sa sœur, qu'elle ne connait pas tellement.
Pour le reste, vous êtes assez libre, si ce n'est qu'elle a rencontrée Lorenzo à l'âge de 5 ans et qu'en découle leur histoire commune. Pour tout ça, je vous conseille de lire
ma fiche.
Sa profession est facilement négociable, celle là comme une autre me conviendra. Il n'y a rien de spécial à connaître de la miss.
▬ relationsLorenzo & Stella sont mariés. Ils se connaissent depuis l'âge de 5 ans et ont toujours été les meilleurs amis du monde, sauf défection au lycée. Ils ont poursuivis leur petit bonhomme de chemin après ça et vivent dans une harmonie presque parfaite. Stella est délicieusement naïve en ce qui concerne son époux : elle le croit parfaitement fidèle, l'époux idéal en faites. Elle est une amoureuse transparente qui obtient quand même tout ce qu'elle veut de Lorenzo. Leur relation est calme mais passionnée, le ton monte rarement.
«
Non mais franchement Lorenzo, Caterina del Agui. Tu te fiches de moi ? C'est cette fille que tu compte inviter à sortir ? »
«
Parce que tu penses que ton Fabio est mieux ? »
«
Mon Fabio ? Comment ça mon Fabio ? Cet abruti ne sait pas faire une addition correctement. »
«
Justement, tu lui donnera des cours à ce con. »
«
LORENZO ! »
«
Et en plus tu le défends ! »
«
Je ne le défends pas ! »
Mais déjà le jeune homme ne l'écoutais plus. Ses yeux étaient portés sur la superbe brune qui traversait le hall.
«
J'te vois plus tard Stella. »
Il n'y eut jamais de plus tard. Le soir, la nouvelle qui courait dans le lycée concernait Lorenzo et Caterina. Et bientôt Stella ne fut plus qu'une ombre pour lui.
Elle pleurait, seule dans sa robe superbe. Plantée par son cavalier pour une plus jolie, plus plantureuse, plus blonde. Abandonnée à son sort, elle observait les couples évoluer sur la piste, se mouvoir au rythme d'une musique douce qui changea brusquement pour un rock. Elle observa Diana, la cavalière de Lorenzo, quitter la piste en direction des toilettes alors qu'il vint se resservir à boire. Leurs regards se croisèrent et il s'approcha.
«
Stella ? Oh Stella, qu'est-ce qui t'arrive ? »
Elle renifla et tenta de cacher ses larmes. Rien n'eut l'effet escompté et, de toute faon, son mascara avait déjà coulé.
«
Rien, laisses moi tranquille ! »
Rien à faire, Lorenzo était têtu. Il essuya délicatement ses larmes.
«
Il t'a planté c'est ça ? Il t'a laissé seule ? »
Il se releva, cherchant des yeux le cavalier de son ex meilleure amie. Et puis il abandonna l'idée d'aller lui casser la figure alors que les pleurs de Stella redoublèrent.
«
Je vais te ramener chez toi Stella. Attends moi une minute, je reviens. »
Il s'absenta un instant puis revint la chercher. Le trajet de retour chez elle se fit dans le calme le plus complet. Il la raccompagna jusqu'à la porte.
«
Tu mérites tellement mieux ma Stella... »
«
Tais toi ! Fermes là Lorenzo ! Ne me parles plus jamais si c'est pour m'abandonner à nouveau ! »
Il lui caressa doucement le visage.
«
Oh Stella... »
Leurs lèvres se frôlèrent et ils échangèrent un baiser. S'en suivit un moment de flottement avant qu'elle ne rentre précipitamment, perdue, et qu'il ne reparte chercher sa cavalière. Et pourtant le lendemain, elle lui donna une chance.
«
Stella... »
«
Hum ? »
«
Je pensais à un truc tout à l'heure. »
«
Hum ? »
«
Je sais que tu n'es pas vraiment... enfin, pour toi le bonheur indéfectible n'existe que dans les livres et tes parents ne t'ont pas offert l'exemple parfait mais... J'aimerais que tu me laisses une chance de te prouver que les choses peuvent être superbes, parce que moi j'y crois. Stella, accepterais-tu de m'épouser ? »
La jeune femme, à moitié endormie, fut soudain bien réveillée. Le mariage, elle en rêvait. Et l'imaginer avec Lorenzo, qui était contre cette institution, elle n'osait plus l'espérer. Elle ouvrit les yeux pour découvrir son petit ami, la regardant l'air inquiet avec une bague entre les doigts. Elle eut un franc sourire.
«
Oui, oui, oui ! »
Et ce jour là, ni l'un ni l'autre ne daigna aller travailler.