▬ tou es têtou comme oune moûle... non, yé pas dit oune moule ! oune moûle ! comme oune âne si tou préfères !JE SUIS♣ Naïve
«
En se mariant, toute femme s'imagine sottement qu'elle pourra transformer son époux, et tout homme a la naïveté de croire que sa femme ne changera jamais. »
J'ai toujours été plutôt naïve, sûrement parce que je voulais croire en la bonté de chacun. C'est une part d'enfance qui me reste et me restera à vie. Je n'ai jamais pu imaginer qu'une personne soit totalement méchante, je voulais croire coûte que coûte que nous sommes simplement influencé par la société d'aujourd'hui et qu'on avait juste besoin de quelqu'un pour nous ouvrir les yeux. Mais au fond c'était peut-être à moi qu'on devait ouvrir les yeux...
♣ Amoureuse
«
La femme qui vous aime parle d'avenir. Celle qui ne vous aime pas parle de présent. »
Ah l'amour ! Je l'ai toujours espéré et par chance je l'ai trouvé ! J'aime Lorenzo plus que tout au monde. Être amoureuse est vraiment la chose la plus belle au monde, du moins de mon point de vu. Je me sens plus forte, plus vivante à chacun de ses regards, à chacun de ses baisers, à chacune de ses caresses. C'est simple, je ne pourrais jamais aimer quelqu'un plus que mon mari. C'est mon tout.
Discrète & Sincère
« La sincérité est de verre ; la discrétion est de diamant. »
J'ai toujours été plutôt discrète et réservée, voire timide. M'afficher devant les autres n'a jamais été une chose que j'appréciais. Moi, je préférais rester dans mon coin, tranquillement, et encore aujourd'hui je suis ainsi. C'est aussi une manière pour moi de me protéger. En évitant de trop m'exposer, j'évite également les critiques que pourraient faire les autres à mon sujet. C'est peut-être un peu lâche comme comportement, mais je suis comme ça, que vous le vouliez ou non.
Je déteste les mensonges et les menteurs, de ce fait j'ai toujours été sincère, même quand la vérité n'était pas forcément facile à dire. De mon point de vue, dans les mensonges on ne pouvait pas avancer, alors même si la vérité risque quelques dommages, il faut qu'elle soit révélée. Vivre dans le mensonge revient seulement à remettre à plus tard une vérité qui finira bien par éclater. Enfin... si tout le monde pensait que moi, le monde n'en serait sûrement pas là...
J'AIME♣ La musique
«
La musique c'est la vie, la musique c'est ma vie ! »
Comment pourrais-je vivre sans musique ? Sincèrement c'est tout bonnement impossible ! Quand j'écoute de la musique, je suis dans ma bulle, et le monde prend une toute autre ampleur, tout devient plus gai, plus vivant. La musique, c'est des milliers de souvenirs, bons ou mauvais. Il y a au moins ne serait-ce qu'une seule chanson qui doit vous rappeler quelque chose. Sur le rythme d'une chanson, les images de notre mémoire se mettent à danser, comme si nous revivions l'instant même. C'est juste magique...
♣ L'écriture
«
Ecrire, c'est une liaison d'amour avec soi et les choses, et les moments et les gens. Ecrire, c'est comme vivre une vie parallèle à sa vie de chaque jour ; c'est le vase purificateur de l'âme et de ses mouvances. »
Ecrire... voici ma passion, d'où le fait que je sois devenue journaliste. Quand j'écris, je m'enferme dans mon monde de papier et d'encre. Dans ce monde je peux être qui je veux, avec qui je veux. Je peux être forte, courageuse, je peux être en Chine, en France, n'importe où ! C'est mon monde, c'est celui qui me libère des poids de la vié réelle. Quand j'écris, c'est un peu comme si je rêvais éveillée et il n'y a rien de plus beau au monde, après l'amour. Je ne pourrais pas vivre une vie où je ne pourrais écrire, car écrire c'est ma vie.
♣ Les confiseries
«
C'est bien bon, mais ça colle un peu aux dents ! »
Une part d'enfance qui me reste. Les confiseries c'est un peu mon péché mignon vous voyez le genre ? Quand j'en mange une c'est dur de m'arrêter ensuite ! Mais en grandissant j'ai appris à me contrôler. Ce petit goût sucré dans la bouche, j'adore ! De plus, cela me rappelle lorsque j'étais petite. Une confiserie suffisait alors à me faire sourire, d'ailleurs Lorenzo se servait de ça pour se faire pardonner parfois, lorsque nous étions jeunes.
J'AIME PAS♣ Les mensonges
«
La vérité existe. On n'invente que le mensonge. »
J'ai une sainte horreur des mensonges ! Pour moi c'est un masque derrière lequel on se cache en attendant que les choses nous tombe dessus. C'est lâche tout simplement. Je sais que la vérité n'est franchement pas toujours facile à dire, mais tout de même...N'est-il pas pire d'attendre plus longtemps avant que tout ne soit dévoilé ? La douleur n'en sera que plus forte.
♣ Les araignées
«
C'est moche, et en plus c'est poilu ! »
Allez sincèrement, combien de personnes aiment les araignées ? Probablement une très faible minorité ! En même temps, vu à quoi ça ressemble, ça se comprend. Comme beaucoup de personnes, j'ai horreur de ces bestioles, et je peux me mettre à crier à la vue d'une toute petite. Il faut dire aussi, que lorsque j'avais neuf ans, une araignée m'a mordu dans la nuit. Depuis ce jour, j'en ai presque la phobie.
♣ La pluie
«
La pluie, ça mouille ! »
Je n'irais pas jusqu'à dire que je déteste la pluie, disons simplement que ça m'énerve. Quand on est à l'intérieur, au chaud, ça va, c'est même plutôt joli à regarder. Mais lorsque nous sommes obligés de sortir, c'est une horreur ! Ça glisse partout, on est tout trempés (car soyons honnêtes un parapluie ça va bien deux minutes), on a froid, et puis le grand malheur des dames, ça ruine nos coiffures !
▬père castor ? c'est qui loui ? il raconte dé histoires ? comme moi ? imposteur !
Il était une fois la vie d'une jolie Italienne du nom de Stella.J'ai vu le jour dans la belle ville de Rome. J'aurais pu tout avoir pour être heureuse, au départ je l'avais, mais j'étais trop petite pour comprendre le monde qui m'entourait. J'étais âgé de deux ans à peine lorsque mes parents ont divorcé. Mon père est parti avec ma grande sœur vivre à Naples. Je n'ai aucun souvenir de mes parents ensemble, et c'est sûrement mieux ainsi. Je n'ai pas pu vraiment souffrir de leur séparation de cette façon, mais je dois avouer avoir toujours eu le sentiment de manquer d'une famille, une vraie. Grandir avec sa mère est sûrement le mieux pour une jeune fille, mais je dois avouer que l'absence d'un père a été importante dans ma vie. J'ai été proche de ma mère, puisque je n'avais qu'elle, mais sentir que je n'avais pas vraiment de famille me blessa beaucoup lorsque je fus plus jeune. Bien sûr je pouvais toujours appeler mon père ou ma sœur, et c'est ce que je fis durant des années, mais soyons réalistes, des appels ne remplace pas la présence des personnes chères à votre cœur. Heureusement pour moi, à l'âge de cinq ans, je rencontra celui qui serait ma famille le long de ma vie : Lorenzo. Une rencontre pouvait réellement changer une vie, j'en étais la preuve, du moins il en était la preuve. Ma vie n'aurait jamais été la même sans lui. Elle aurait plus fade, plus triste je pense. Lui et moi étions à l'opposé et pourtant je ne me suis jamais sentie aussi proche d'une personne. Très vite on est devenus amis, même meilleurs amis. Il savait tout de moi comme je savais tout de lui. Parfois seul un regard suffisait pour que nous nous comprenions. C'était fou à quel point nous pouvions être sur la même longueur d'onde malgré nos différences de caractère. Sa famille était au fil des années devenue la mienne. J'adorais ses parents, sûrement tout autant que je l'adorais lui. C'était bon de sentir que l'on avait des gens pour nous, c'était bon de voir que je pouvais avoir une famille, même si au fond ce n'était pas vraiment la mienne, dans les faits c'était tout comme. J'avais eu la chance de trouver quelqu'un sur qui m'appuyer, et c'était quelque chose qui n'était pas donné à tout le monde.
Mais les choses se compliquèrent en grandissant. Enfin au lycée plus précisément. Je n'étais pas spécialement jalouse ou possessive, mais quand il s'agissait de Lorenzo c'était différent. Faut me comprendre, il était le seul que j'avais, et pour rien au monde je n'aurais voulu le perdre. Seulement lui en avait décidé autrement. Comme tout hommes il s'intéressa aux filles, me délaissant quelque peu. A croire que je ne valais pas mieux qu'elles. On s'éloigna petit à petit, nous vivions notre vie chacun de notre côté sans pour autant avoir complètement laissé tomber l'autre. C'est durant cette période que je rencontra mon premier amour, premier amour qui s'était vite transformé en première déception. Stupide et naïve que j'étais, j'avais crus en sa bonté, en sa gentillesse. Le soir du bal de promo, je me suis retrouvée seule. Le cœur brisé et l'espoir de passer la soirée de mes rêves envolé. Quel salop ! Encore aujourd'hui je lui en voulais ! Je l'avais aimé, vraiment aimé. Lorenzo fut présent pour moi ce soir là. J'aurais préféré qu'il ne me voit pas dans cet état, mais impossible de cacher ma peine face à lui. Il me raccompagna chez moi, dans un silence des plus complets. C'est ce soir là, oui ce soir là, que tout changea... Un baiser échangé entre nous et je sus que plus jamais ma vie ne serait pareille. Jamais un baiser n'avait eu autant d'impact sur moi, et cela remit en cause les sentiments que j'avais à l'égard de Lorenzo. Ayant prit peur, je m'étais alors rapidement réfugiée à l'intérieur de chez moi. Mes doigts s'étaient posés automatiquement sur mes lèvres qu'il venait à peine d'embrasser. Je sentais mon cœur battre à travers ma poitrine, et c'est là que j'ai compris... C'était lui. Je l'avais toujours aimé. Depuis le premier jour où je l'avais rencontré mon cœur l'avait choisi, je n'avais seulement pas voulu me l'avouer, par peur probablement que tout ne soit pas partagé. Le lendemain, malgré mes doutes, malgré ma peur, je nous laissa une chance, et voilà que désormais nous formions un couple, à mon plus grand bonheur.
Je ne pourrais jamais aimer quelqu'un plus que ce que j'aime Lorenzo, c'est tout simplement impossible. Et moi qui ne croyait aux belles histoires que dans les contes de fée, il réussi à me faire changer d'avis. J'avais l'impression de vivre un rêve éveillé à son côté, surtout depuis ce jour où il me demanda ma main. «
Je sais que tu n'es pas vraiment... enfin, pour toi le bonheur indéfectible n'existe que dans les livres et tes parents ne t'ont pas offert l'exemple parfait mais... J'aimerais que tu me laisses une chance de te prouver que les choses peuvent être superbes, parce que moi j'y crois. Stella, accepterais-tu de m'épouser ? » Je dormais à moitié lorsqu'il me dit ça, mais cette annonce me réveilla complètement. J'avais du mal à y croire, surtout connaissant Lorenzo et son avis sur le mariage. Lorsque je le vis, la bague entre les doigts je compris que tout ceci était réel. Je ne pus réprimer le sourire qui s'afficha sur mon visage tellement j'étais heureuse. «
Oui, oui, oui ! » Après tout comment aurais-je pu refuser une telle demande de l'homme de ma vie ?
Où en étions nous désormais ? C'est simple. Je fais le job de mes rêves, je vis avec l'homme de mes rêves, et après avoir eu une grosse promotion dans la ville de Naples, nous voilà parti vers la jolie ville où habite ma sœur et mon père. Je prend cette opportunité comme une chance, la chance de reconstruire ma famille. Certes, je considère Lorenzo comme ma famille, mais tout de même cela reste différent. Je n'ai pas peur de l'avenir, j'ai simplement hâte de pouvoir vivre cette nouvelle vie, en compagnie de mon mari. Malgré avoir eu Lorenzo à mes côtés quasiment depuis toujours, il m'a toujours manqué quelque chose, et je venais retrouver ce quelque chose en venant ici, à Naples. J'espérais pouvoir renouer facilement avec ma sœur. Avec le temps, nous avions perdu contact, quelque peu malgré nous d'ailleurs. Si je savais dans quoi je venais de m'embarquer, peut-être que je serais restée à Rome, dans ma petite vie bien tranquille. Mais désormais c'était trop tard et j'étais prête à tout affronter, du moment que
lui, était à mes côtés.
▬ ma aller, plou dé blague ! tou es qui en fait ?.pseudo : tik tok
.âge : 17 ans c'est fou ça
.nana ou p'tit mec : fille (girl poweeer okay je sors -->)
.double compte : nop vous voulez ma mort j'ai déjà assez de rp xD
.commentaire : T'as quelque chose d'utile à nous dire ? L'Osservatore est... So sex' !
