Léandra Cassandra Fillecci ♣ 21 ans ♣ Célibataire ♣ Etudiante en psycho et serveuse ♣ bleu ou rouge j'hésite help me please

▬ tou es têtou comme oune moûle... non, yé pas dit oune moule ! oune moûle ! comme oune âne si tou préfères !

Journal de pensées chapitre 1
Chercher à devenir psychologue était parfaitement égoiste de ma part, pour soigner les autres je devais passer par la case étude de cas. C'est ainsi que j'ai découvert avec horreur la noirceur de mon esprit torturé. A commencer par tout ce qui s'apparente à des manies on nommerais plutôt cela troubles obsessionnels compulsifs et c'est fou ce qu'ils peuvent être nombreux : lorsque je suis dans un lieux publique en particulier un marché bondé ou un centre commercial je prends deux chewin gum à la fraise, l'un après l'autre au bout de vingt minutes je recommence le même rituel encore et encore. Les trajets en bus ou en métro sont également un véritable calvaire : écouteurs plaqués sur les oreilles et des le départ de mon moyen de transport je lance la musique Passenger des Deftones, la même toujours la même 3 fois de suite et la je suis débarrassée je peux changer de chanson, si par malheur mon Ipod vint a tomber en panne les autres passager devront subir mes claquements de talons contre le sol ainsi que les craquements de mes doigts pendant toute la durée du trajet.
Passons au contact avec l'être humain, je suis remarquablement à l'aise lorsqu'il s'agit de mon travail ou d'un exposé oral mais quand il s'agit de parler de moi alors la c'est une véritable catastrophe. Je bafouille, je pince ma lèvres inférieure lorsque je viens de sortir une énormité ou que je ne trouve plus quoi dire. Alors faites moi plaisir éviter d'entamer une discussion trop longue avec moi sous peine de voir ma pauvre lèvre saigner. sans compter qu'a cause de ces gens stupides qui s'acharnent à me parler ma crinière de tigresse oui j'ai des beaux cheveux! (j'ai que ça d'ailleurs), je disais donc à cause de vous on va pouvoir faire cuire des churros. Pourquoi? Eh bien sachez que ma lèvre n'est pas la seule victime de ma nervosité ma main semble irrémédiablement attirée par mes cheveux je vous remercie e vous prie de me laisser en paix!

Mes expressions? Eh bien comme j'ai pu l'apprendre au cours de mes études je suis une hypersensible qu'est ce donc cela? Rien de bien grave mes sentiments sont décuplés, colère , peur stress tristesse amour. Oui me dites vous et alors? Je vais vous répondre eh bien ça t'es déja arrivé de pleurer devant un coucher de soleil sur un paysage de printemps? Bon sans compter l'embarras avec les gens. En fait le problème je ne crois pas que ce soit moi, le problème c'est vous! Une petite ile avec une grotte ça m'irait parfaitement! En parlant de cocon, mon appart' c'est l'idéal mon bain est mon meilleur ami la cuisine? Eh bien sachez que lorsque je prend le temps je suis un véritable cordon bleu mais avec les études et le boulot je ne peux pas souvent le prendre. Mes sorties? Hmmm elles sont limitées parce qu'il y a toujours un ou une imbécile pour venir me gâcher mon plaisir. Je vais préférer les parc aux centre commerciaux, les cafés aux discothèques et les ballades nocturnes sur la plage plutôt que le planté de parasol dans le sable avec moi ça finirait dans une tête.

Et si seulement il n'y avait que ça...

Journal de pensées chapitre 2
MOI et les autres
Depuis ma plus tendre enfance j'ai toujours perçu les gens comme une menace et le peu de persones à qui j'ai attribué ma confiance on me l'a arraché en faisant de moi une vulgaire loque. Je m'attache si facilement et mon coeur est aussi mou qu'une guimauve je préfère donc la sollitude monotone aux risques d'électrochoc humains. J'ai besoin de me sentir forte et pour cela il me faut deux choses: un domaine que je maitrise pour interagir avec les autres ou l'isolement. Frigide, associable, hautaine, méprisante, shootée, marginale on a toujours voulu me coller tout un tas d'étiquettes mais moi je n'ai pas cherché plus loin que de vous mettre tous dans deux cases : les filles et les garçons, je n'appartiens que scientifiquement au premier groupe quand au second je préfère l'ignorer tellement il m'est agaçant d'en parler.

Les filles et MOI
si j'ai bien compris il faudrait avoir la classe d'un mannequin, la beauté d'une déesse et la barbie girl attitude pour entrer dans votre monde. Eh bien sur ce coup la je suis larquée. Bon essai encore les filles trop belle ça attire la jalousie, les filles trop moche ça attire la moquerie, les filles trop timide ça fait fuir, les filles trop sur d'elles attirent le mépris. Bien pour vous les filles il y à toujours un TROP et moi je n'ai jamais aimé l'excès ni l'hypocrisie.

Les garçon et MOI
...
je crois que ça suffira vous êtes bien pires messieurs les phalus sur patte.

▬ père castor ? c'est qui loui ? il raconte dé histoires ? comme moi ? imposteur !

6 ans la belle époque
Maman avait décidé de me mettre ces jolies soquettes à dentelles et ma robe rose avec un joli jupon blanc en dessous, j'étais belle oui une véritable petite poupée si on regardai mes deux nattes ornées de rubans assortis à ma robe. En chantant et trottinant avec plus d'ampleur que les autres matins j'arborais un sourire radieux et des yeux pétillants lorsque je pénétrais dans la salle de classe. Lucinda me dévisageais avec insistance et je me retrouvais seule pour la récréation du matin. Pourquoi? Ma tenue était elle responsable de tout cela ? Non biensur que non c'est ce jour que je découvrit la jalousie de la gente féminine. Trop heureuse de cette jolie parure je tournais sur moi même admirant ma jupe voler au gré du vent et danser sous mes mouvements fluides. Je tournais sur moi même encore et encore jusqu'à en avoir le tourni. Je découvris alors l'ivresse.
Je m'arrêtais un instant afin de reprendre mon souffle et vérifier que mes rebans étaint toujours accrochés à mes nattes.

- Léandra!

Je tournais la tête pour découvrir Mattéo (HJ: désolée pour le prénom :p à prendre comme une ouverture ou pas hehe) et sa bande s'approcher de moi en riant. Je les regardais avec stupéfaction lorsque celui ci s'agitait autour de moi. Lui et ses copains tentaient de saisir ma jupe pour regarder ce qu'il y avait en dessous. Eh bah une culotte comme tout le monde. C'est donc ce jour que je découvris l'idiotie. Je faisais de mon mieux pour retenir ma robe vers le bas mais les garçons me faisaient tourner la tête, les larmes me montaient aux yeux.

- laissez moi tranquillleeee.. ARRRETEZ!

Mes paroles étaient comme une écharpe en été, sans aucun sens et surtout d'aucune utilité. Je tentais de m'extirper du cercles qu'ils formaient autour de moi mais mes pieds s'emmêlaient et je tombais sur le sol. Les garçons il riaient, à travers le brouillard que formaient mes larmes je regardait les filles au loin qui riaient elles aussi. Les poings serrés et agitée par des sanglots je me levais. Les joues trempées de larmes et la bouche tremblante je fixais Mattéo en me relevant une fois face à lui je raclais ma gorge afin de lui cracher mon venin à la figure. Au sens propre, le garçon choqué essuya la salive qui dégoulinait sur son visage.
Et ce jour la je découvris ...
....le bureau du directeur.

12 ans le renouveau
L'école primaire ne fut pas un grand succès étant donné la réputation que je m'étais formée, suite aux conseils avisés d'une maman tendre je décidais de me prendre en main. Je devais me faire des amis. Bien quoi de mieux que le collège pour transformer la chrysalide en joli papillon? Seulement je n'étais pas la plus riche, ni la plus populaire , ni la plus belle et mon attitude studieuse ne faisait que de me ranger dans la case des invisibles intellos. Le cercle d'amis était restreint, les gens "comme moi" était gentils mais trop collant, trop déprimants trop trop quoi! Je préférais m'isoler, les éviter du mieux que je pouvais. Je passais donc quatre longues années à fuir ces gens mais aussi à fuir les autres. Car les gentils eux ne tentaient pas de me blesser ou me rabaisser. J'avais donné beaucoup trop d'énergie pour ces êtres qui n'en vallaient pas la peine. Les livres, la musique et le dessin étaient bien plus intéressant.


16 ans la beautée extérieure.
Mes années de collège m'avaient permis de me perfectionner en dessin mais aussi à la musique, mon niveau de guitare avait bien augmenté depuis deux ans et je chantait comme une hirondelle me disais maman. C'est donc au lycée que je commençait à plaire aux gens, la mystérieuse dessinatrice, la guitariste solitaire, on me grattifiait de tout un tas de surnoms aussi poétiques les uns que les autres pourtant cela faisait bien quatre ans que je ne cherchait plus à leur plaire. Les filles me voulaient comme confidente, les garçons tentaient de me charmer et moi je faisait de mon mieux pour suivre la vague. Jusqu'à 'arrivée de Tomas un an plus tard, il était beau des yeux d'un vert émeraude des cheveux noirs comme l'ébene et une voix à tomber par terre. Toutes les filles étaient sous son charme, il était la proie de ces croqueuses, et ne semblait pas trouver chaussure à son pied. Ce garçon était populaire et moi je n'étais que l'artiste mystérieuse, je ne tentais pas de l'approcher mais il vint à moi. Pourquoi donc? Après les cours il me suivait jusqu'au parc et m'écoutait jouer et chanter, il était doux attentionné et d'une grande sensibilité. Cet ange semblait donner une image de lui qui ne correspondait pas à son grand coeur. J'étais follement amoureuse de lui mais par instinct de survie je faisait l'indifférente et jouait à la meilleure amie. Jusqu'au jour ou il m'invita à la soirée de d'Erika, la faille la plus populaire du lycée, je tentais de décliner l'invitation afin de ne pas me retrouver figée à la soirée de l'élite du lycée. Mais je ne sas par quelle magie ou tactique Tomas réussit à me convaincre d'y aller. Pour l'occasion je tentais de remettre une robe (dix ans que j'avais refusé d'en remettre une) , enfin une jupe plutôt et me voila partie à cette fête. Les gens semblaient accueillants et gentils, peut être m'étais je fais de fausses idées à leur sujet, après tout tout le monde peut se tromper non?
Après trois soda, quatre "jus de fruits" étrangement corsés, dix refus de bierre, qautre de danse j'avais besoin de prendre l'air Tomas m'emmena sur la terrasse alors que je semblait un peu étourdie et nauséeuse. Il prit soin de moi en me caressant le dos et les cheveux et tel un gentleman m'apporta deux autres cocktails. Mais mon état semblait empirer, peut être avais je de la fièvre? Il me proposa de monter à l'étage pour me donner un médicament et que je puisse me rafraichir le visage, j'acceptais sans broncher. Allongée sr le lit mon corps semblait lourd et mes réflexes avaient diminués. Je m'excusais de nombreuses fois et celui ci semblait amuser. Je me blottit dans ses bras tandis qu'il passait un gant frais sur mon front. Ses attentions se firent plus prononcées, ses mains vagabondaient de manière plus appuyées sur mon ventre et mes cuisses. Ses lèvres vinrent se sceller aux miennes sans que je n'affiche aucune résistance, lorsqu'il glissait ses mains sous ma jupe afin de remonter ses mains le long de mes cuisses je tentais de le repousser.

-non arrêtes s'il te plait je ne suis pas...

Il se mis a califourchon sur moi et le doux garçon que j'avais connu semblait avoir disparu. Il m'empêchais de bouger tandis qu'il ignorait mes plaintes il continuait encore. Je ne pouvais pas lutter j'étais bien trop faible. Je réussit tout de même à m'enfuir et rentrait chez moi en pleurant toutes les larmes de mon corps.
Le lendemain il m'avait "eue" j'étais devenue la nouvelle conquête de Tomas et celui ci m'ignorait après avoir raconté de beaux mensonges alimentant les commérages jusqu'à la prochaine victime.

21 ans le quotidien est une boucle sans fin.
Aujourd'hui j'ai 21 ans je suis en 2eme année de fac de psycho, je travaille dans un bar pour payer mes études et mon loyer, j'ai quitté la maison des parents et chaque dimanche midi je mange chez eux. Mes parents veulent me marier avec le "boss Francesci" mais déja que je n'aime pas les hommes comment apprécier celui la? Et puis de nos jours c'est démodé tout ça non? Je passe mes dimanches à tenter de convaincre ma mère que je ne suis pas faite pour le mariage. Pour éviter les tensions je suis obligée de trainer avec mon "fiancé", plus on nous voit ensemble mieux c'est ..pour ous deux...

Je partage mon appartement avec Geepsy mon chat, je joue toujours de la guitare dans des parcs mais je ne chante que lorsque je suis seule. Je n'aime toujours pas les gens et je suis toujours vierge.
Quoi? Sachez que j'ai trouvé comment me provoquer du plaisir les fraises au nutella il n'y a rien de meilleur. Je n'ai jamais tenté d'expérience avec les filles non pas qu'elles me dégoutent mais je ne leur plait pas, tant mieux c'est réciproque. Quand au porc que l'on nomme homme j'en vois tout les soirs au bar et cela est amplement suffisant!

▬ ma aller, plou dé blague ! tou es qui en fait ?

.pseudo : Appelles moi Dario :p
.âge : 24 bientot 25 c'est pas beau de vieillir :(
.nana ou p'tit mec : pitite toute pitite fifille
.double compte : naaaan
.commentaire : OK, Mattéo et Ugo sont canons !

Bienvenue ♥