▬ tou es têtou comme oune moûle... non, yé pas dit oune moule ! oune moûle ! comme oune âne si tou préfères !Beaucoup de mots pourraient qualifiés Karyn tant il est difficile de la mettre dans une case particulière ! Elle a un caractère très spécial, et on ne peut pas vraiment dire la connaître si on n'a pas au moins passé un an en sa compagnie ! C'est une jeune fille pétillante et pleine de vie, qui ne laisse que rarement les événèments empiéter sur sa joie et ses envies de rire, bien que cela n'ai pas toujours été ainsi pour elle. Elle saura toujours vous faire oublier vos soucis en vous prenant par la main pour vous entraîner dans une de ses danses folles lorsque vous sortez faire la fête ensemble ! Elle sait aussi vous embrouiller, du fait que vous ne savez plus exactement de quoi vous parliez au début !
Elle a une grande culture, dans tous les domaines ou presque, et vous vous étonnerez de voir l'heure de partir arrivée pour vous tant votre discussion n'a pas connu de pauses et n'a pas été assommante ! Elle a toujours la réflexion qui tue, et on se demande où elle va trouver ça, mais c'est du elle tout craché, alors ne vous triturez pas la tête à trouver le pourquoi du comment ! Si vous cherchez les gens qui s'énervent pour un rien, ne venez pas vers elle, elle n'aime pas les conflits et cherchera toujours à les éviter, sauf quand elle s'est levée du mauvais pied ou a eu une journée exténuante. Là, vous verrez qu'elle est capable de partir au quart de tour pour un rien et de perdre toute notion logique et toute logique de mesure justifiée. Elle sait ainsi sortir les griffes lorsqu'il le faut, douceur ne rimant jamais pour elle avec bonne à tout faire, et profit ! Elle ne se laisse pas marcher sur les pieds, jamais ! Mais ce qui la fait sortir de ses gonds, c'est lorsque l'on s'en prend aux siens. Elle saura toujours comment vous le faire regretter, alors, on vous aura prévénu. A part ça, c'est un ange de bonté et de douceur, si ses fils pouvaient parler, ils en témoigneraient. Mais n'oubliez pas, n'abusez pas ! Parce qu'alors, elle s'enflammera bien vite, et vous débitera un flot de paroles pas toujours douces et sucrées. Parler, c'est son truc, et à force de le faire vite et de changer sans cesse de sujet, il n'est pas impossible qu'elle lâche sans le vouloir des infos ou des secrets qu'elle ne devait pas révéler ... Alors, ne pensez pas qu'elle est incapable de garder les secrets, c'est juste qu'elle un côté gaffeuse impressionnant ! Elle rougit de ses gaffes, de ses petites faiblesses, et de ses bourdes, et alors, vous ne pourrez que succombé(e) tout(e) entier(ère). Tout ça parce qu'elle vous aura alors révéler une chose dont vous étiez dans l'ignorance ! Elle mélange aussi parfois les aliments lorsqu'elle cuisine, distraite par quelque chose ou plongée dans ses pensées ! Le repas préparé n'est alors pas toujours comestible, mais parfois, ça donne des trucs géniaux, alors, goûtez avant de dire non lorsque vous mangez chez elle !
Elle est également maladroite ! Combien de fois a-t-elle claqué la porte trop fort et coincé son pull dedans ? Combien de fois a-t-elle fait tomber ses livres de cours ou ses montagnes de papier par terre ? Bref, vous l'aurez compris, les objets refusent souvent de rester entre ses mains, et sont alors comme aimantés par le sol ... Elle en rit lorsque l'objet se trouve être seulement un bouquin, mais fait un peu la moue lorsque l'objet en question se trouvait être un verre ... Que voulez vous, elle a les mains comme du savon ! Mais mystérieusement, dès que l'objet en question touche de près ou de loin à ses fils, alors là, elle devient comme la reine de la voltige et des jongles ! Comme quoi, peut être tout ça n'est-il qu'une question de volonté !
▬père castor ? c'est qui loui ? il raconte dé histoires ? comme moi ? imposteur !Karyn Chiara Alessandra Morreto ... Avouez que ça claque, nan ? Certes, à l'origine, elle aurait dû se nommer Chiara, parce que son père le voulait ainsi, mais sa mère en avait décidé autrement ! Et Fabian avait cédé, lui, l'homme d'affaires Italien mondialement reconnu, à la tête de l'Empire Noteglia, possédant une chaîne d'hôtel et une chaine de magazins de luxe, lui, âgé déjà de 38 ans et père de 3 fils issus d'un précédent mariage. Sa femme, qu'il avait épousé en Secondes Noces, portait le doux prénom de Krystal, de son nom de jeune fille Crowzevski, et avait 17 ans de moins que lui. Ils étaient ensemble depuis seulement 1 petit mois lorsque Fabian l'a demanda en mariage, et elle accepta ! Ils accueillirent leur fille 2 mois après le mariage, Krystal étant tombée enceinte dans la foulée ! Tous deux étaient alors en week end dans l'une des propriétés appartenant à Fabian, à Naples. La petite fut immédiatement choyée, et vénérée par ses 3 frères, âgés 7 à 13 ans. Dans des cas comme ceux ci, il était habituel que la mère laisse sa place à une armada de nounous et de gouvernantes, mais ce ne fut pas le cas. Krystal ne se sentait pas la grande envie de travailler, et préférait s'occuper de bals de charités, et d'autres grands évenements culturels de ce genre. Elle s'y connaissait, étant issue de l'aristocratie Polonaise. Fabian était assez peu présent à leur domicile Romain, mais ne s'occupait que de ses 4 enfants et de sa femme lorsqu'il était sur le territoire Italien. Bien que tous deux issus d'une classe aisée, Krystal et Fabian placèrent leur tribue recomposée dans les écoles de quartier, juste pour leur inculquer le respect des différences, et pour ne pas faire d'eux des gosses de riches lointains et distants du monde réel. Krystal était certes aristocrate, mais elle n'en avait que le titre, les biens familiaux ayant été confisqué par les Communistes. Karyn rencontra alors Janaly, qui devint sa meilleure amie de toute la vie de l'éternité, du moins, c'est ce qu'elles jurèrent toutes deux du haut de leurs 7 ans, mais force est de constater qu'elles avaient raison !
Le ciel s'obscurcit pour elle, lorsque, un à un, ses demis frères partirent faire leurs études à l'étranger. Et puis ... Et puis Krystal se tua dans un accident de voiture, alors qu'elle circulait sur une route sinueuse du Sud de l'Italie. Karyn avait 15 ans, et devint pendant 3 longs mois la pire peste jamais vue ! Elle s'en prit d'abord à son père, l'accusant de n'avoir jamais pu rester auprès de sa famille plus de 2 semaines d'affilés et cessa de lui adresser la parole pendant des semaines ! Puis, ce fut au tour de Janaly, qui, elle en était sûre, ne pouvait pas avoir de bons conseils puisqu'elle ne savait pas ce que c'était de perdre sa mère, elle ... Mais sa meilleure amie s'accrocha et resta à ses côtés, la forçant à ouvrir les vannes et à pleurer, ce qu'elle s'était refusée à faire jusque là. Malgré tout, il demeurait ce trou béant, toujours présent dans le coeur de la jeune fille, comme un gouffre qui menaçait sans cesse de l'engloutir toute entière si elle se penchait trop en avant pour y plonger trop longtemps le regard. Elle comprit que la vie se devait d'être vécue à fond et non pas effleurée du bout des doigts. Elle comprit que la vie était sans nul doute l'un des plus précieux présents, et qu'on abimait bien trop cet or en ne sachant pas en profiter, en ne sachant pas en voir la beauté et le prix. Elle n'était pas une fille de riche gâtée pourrie, mais elle ne se privait pas de profiter de ses atouts de privilégiée. Elle fréquentait toutes les réceptions dans lesquelles on l'invitait, ne se privait pas pour vider des magnums entiers de champagne dans les fourrés, cachée avec des amies elles aussi issues de son milieu. Il y avait tous ces serveurs à qui faire de l'oeil, toutes ces têtes bien pensantes et trop coincées à faire jaser. Elle aimait attiser et provoquer sans jamais tomber dans le vulgaire ou le pathétique. Elle collectionnait les aventures, ne s'attardait jamais des lustres au bras du même homme, parce qu'elle s'en lassait vite, et avait réalisé dès le début que ce ne serait qu'une passade, qu'elle n'avait pas encore face à elle l'homme de sa vie. Elle qui avait du sang noble dans les veines avait ce petit quelque chose de la jeune et jolie demoiselle de bonne famille attendant son prince et son destrier blanc. Cependant, elle ne tombait jamais dans le pathos ou dans le trop crémeux. Elle n'aimait pas qu'on lui dise ce qu'elle le devait faire, tout comme elle abhorrait toutes ces légendes qu'on servait aux fillettes. Elle voulait d'un homme qui veuille d'elle au fond, et pas que pour ses formes et son apparence. Elle voulait un homme qui lui tienne tête, qui ose aller contre sa volonté, qui sache bien casser la vaisselle tout en venant ensuite lui dire qu'il l'aimait si fort, malgré son caractère de cochon et ses caprices parfois vraiment trop enfantins.
Vint le temps de l'Université, des études supérieures, des histoires d'amour plus sérieuses et durables, même si ce n'était tout de même pas encore ça. Elle sortait d'une rupture assez douloureuse avec un jeune homme qu'elle avait cru aimer mais qui s'était révélé bien trop différent de la vision qu'elle avait de lui. Elle avait fini par le lâcher, un peu violemment d'ailleurs, mais il s'en était remis extrêmement vite. Mais comme la vie adore nous prendre pour de petits sujets à soumettre à des expériences de vie folles, elle avait rencontré ce jeune homme, au détour d'une rue, ou plutôt, elle lui était rentrée dedans, rougissant jusqu'à la pointe des cheveux si jamais cela avait été possible. Il s'appelait Nate, Nathanaël en fait, mais dès qu'il s'était présenté, elle n'avait pu empêcher de tout de suite lui trouver ce petit raccourci de nom. Ajouté à toutes les sensations qu'elle avait eu, elle avait compris qu'il était celui qu'il lui fallait. Il avait tout ou presque pour lui plaire, et elle n'avait pas hésité à lui donner rendez vous, sans pour autant confesser que cela en était vraiment un, tout ça pour garder sa fierté et le taquiner un peu, il fallait bien le dire. Mais la réalité était là, et ni l'un ni l'autre ne s'en était laissé berné. Ils avaient eu réciproquement ce violent et puissant coup de foutre, et sans lui, elle se sentait bien pâle, triste et essoufflée. Jusque là, elle n'avait jamais réellement eu le coup de foudre, sauf une fois, il s'appellait Enzo, était Sicilien, et lui brisa le coeur ! D'ailleurs, c'était lui l'ex si peu recommandable. Elle tomba follement amoureuse de Nate, elle qui avait toujours cru qu'on exagérait bien trop ce sentiment, qu'on l'embellissait pour lui donner les couleurs orés d'Hollywood. Ils ne tardèrent pas à former un couple, même si tous les deux avaient décidé de garder une certaine indépendance. Ils continuaient de vivre dans leur appart' respectif, mais heureusement pour eux, ils vivaient au même étage dans la même résidence, alors ils pouvaient toujours céder et passer la nuit dans les bras l'un de l'autre, dans un appart' ou dans l'autre. D'ailleurs, la jeune fille se disait qu'elle avait perdu un temps fou avec Enzo quand en face de chez elle vivait probablement celui qui était son seul et son unique. Il la demanda un beau jour en mariage, et elle ne s'était pas sentie un seul instant folle d'accepter. Après tout, cette demande vint après 2 ans de relation, alors, non, ce n'était pas trop précipité. Et puis, même si elle prétendait refuser de faire comme tout le monde, le mariage restait quelque chose dont elle n'avait pas forcément rebu. Sa mère aurait voulu qu'elle se marie, quant à son père, il était plus vieil école que Krystal. Bien sûr, elle refusait de forcer en quoi que ce soit Nate, mais il l'avait demandé en mariage de sa propre initiative, ça devait bien vouloir dire quelque chose, même s'il lui avait bien dit que rester fiancés serait peut être plus long que dans les autres couples. Elle n'y avait vu aucun souci.
Malheureusement, leur relation battait quelque peu de l'aile à mesure des mois : leur relation amoureuse ne semblait désormais plus que rimer avec épisme, ce qui incluait larmes, disputes, amour fou, et sang ... Elle en avait eu assez, se sentant usée et fatiguée, blessée aussi de le voir se fermer et de l'entendre quelques fois s'emporter quand elle s'inquiétait de son état psychique. Elle demanda un break, qu'il respecta. Elle avait besoin d'être seule, de réfléchir, d'avoir du temps à elle sans lui. Les premiers temps, c'était tellement dur, surtout qu'ils vivaient à quelques appartements seulement de distance et que leurs vies s'étaient tellement entrelacées en quelques mois qu'ils partageaient nombre d'amis et de fréquentations communes. Et puis il y eut ces mots de tête, ces nausées le matin et même durant la journée, cette faiblesse qui semblait l'engourdir peu à peu. Un petit tour chez le médecin, puis à la supérette du coin, quelques minutes dans la salle de bain et le sort en était jeté : elle était enceinte. Enceinte ... Elle s'était presque maudite d'avoir fait l'amour une dernière fois avec Nate, parce qu'elle l'avait fait comme ils le faisaient avant, et cela aurait dû mettre la puce à l'oreille du jeune homme. Elle était enceinte d'une nuit d'amour véritable, d'une nuit de presque adieux surtout ... Elle ne lui avait rien dit de la nouvelle, refusant qu'il ne prenne sur lui et ne fasse des efforts que pour pouvoir revenir vers elle afin d'être 100 % là pour leur enfants. Elle aurait sans nul doute quand même dû lui dire, parce qu'ainsi, il ne l'aurait pas appris par hasard, alors qu'ils étaient à un bal, qu'elle s'était évanouie et qu'il avait fouillé dans son sac pour y retrouver un potentiel médicament l'ayant mise dans cet état. Il était tombé en lieu et place de ce genre de choses sur l'échographie, avant de tourner les talons, la laissant bien désemparée. Elle avait alors encore plus dérapé qu'avant ... Il y a eut Dante, pile le soir où Nate venait discuter. Très mauvais timing ... Elle était lessivée, au bout du rouleau, en ayant bien sûr parfaitement conscience que c'était très mauvais pour les bébés. Mais elle avait à bout de nerfs ouvert son coeur, lâchant les vannes, refusant d'abandonner, et surtout, elle avait tout révélé de ce qu'elle savait, tout expliquer comme elle le pouvait de tout ce dont elle avait connaissance, de tout ce qui s'était passé, de tout ce qui lui avait traversé l'esprit surtout, depuis le début. C'est ce jour là qu'il apprit la nouvelle : en plus de lui faire un enfant, il lui avait fait des jumeaux. Pas volontairement bien sûr. Cela compliquait grandement les choses, parce qu'une grossesse gémellaire ne se déroule pas exactement comme une grossesse dite normale. Alors, oui, elle avait besoin de lui, plus que toujours, et surtout parce qu'elle se sentait bien trop partir et perdue sans lui.
Ils y allèrent pas à pas, reprenant chaque fois plus confiance en l'autre. Elle s'était sentie blessée de le voir l'abandonner quand il avait appris pour sa grossesse, mais étant consciente qu'elle l'avait elle aussi blessé, peut être plus que quiconque, à la fois en lui cachant sa grossesse, puis en manquant de coucher avec l'homme qui était accessoirement le père de son meilleur ami. Ils reprirent leur petite routine, alors que le jeune homme passait à mesure des semaines de plus en plus de temps à ses côtés. Elle avait besoin de passer ses nerfs sur lui parfois, mais aussi de le sentir la soulager au niveau du dos, le poids des bébés la faisant souffrir. Elle avait aussi besoin de l'entendre lui donner des ordres, chose dont, bien sûr, elle se défendait, elle qui appréciait lui pester après. Peu à peu, ils déverrouillaient toutes les portes qu'ils s'étaient fermés au nez entre eux. Et puis, vint le jour où Nate lui révéla tout, le jour où, enfin, elle comprit que ce n'était pas sa faute si, peu à peu, il s'était autrefois éloigné d'elle. Elle avait compris, pleuré aussi, parce qu'elle était pleine d'hormones, et tellement désolée pour tout, désolée de ne pas avoir pu partager sa peine et sa souffrance. Et puis, elle avait perdu les eaux. Cela avait été soudain, surtout pas attendu, et très, très douloureux. Direction l'hôpital, où elle avait tapé sur les doigts de tout le monde, et surtout sur ceux du pauvre Nate qui en avait pris plein son matricule. Et les bébés étaient arrivés : Sasha et Alessio. Le premier de leur fils leur avait foutu une peur bleue, mais finalement, ils étaient en bonne santé, et comme consciente d'avoir accompli ce qu'elle devait accomplir, elle avait perdu connaissance, avant de se réveiller avec les trois hommes de sa vie. Leur vie de couple était repartie de plus belle, après près de 8 longs mois, sans compter toutes les semaines pendant lesquelles tout avait commencé à se dégrader entre eux. Ils étaient les heureux mais éreintés parents de deux jumeaux qui entendaient bien sans cesse leur signifier leur présence. Mais ils s'en étaient sortis, formant une belle équipe, soudée et unie. Ils formaient aussi un couple aux multiples facettes : amoureux, amants, parents, amis, conseillers, et tant d'autres choses aussi. Et puis, comme si ce bonheur n'était décidément pas encore tout à fait arrivé au sommet, elle le vit lui demander sa main, là où se situait la propriété familiale des Lorisse. Son coeur n'avait fait qu'un tour, quand tout son être avait manqué de la lâcher sur le coup, devant tant de bonheur. Bien sûr, elle lui avait dit oui, arguant par la suite, pour le taquiner, que c'était uniquement parce qu'il n'était pas si mal et que, comme aux soldes, elle refusait de laisser passer une bonne affaire.
Et puis, maintenant, il y a leur vie à Naples. Rome, c'était trop grand, trop bruyant, trop agité. Ils avaient besoin de repartir du bon pied, dans une ville nouvelle, qu'elle, elle connaissait mieux que lui et dont elle avait tant plaisir à lui faire découvrir les charmes. Les jumeaux grandissaient bien, Nate trimait un peu moins, et elle bossait de chez elle, pouvant consacrer à loisir son temps aux deux petits bouts. Bien sûr, Naples étant Naples, ils n'étaient pas à l'abri du destin, mais elle se disait que tant qu'ils l'affrontaient main dans la main, rien de bien dangereux ne pouvait leur arriver ...
▬ ma aller, plou dé blague ! tou es qui en fait ?.pseudo : Twix
.âge : 20 ans moins 6 mois
.nana ou p'tit mec : Déesse
.double compte : Nop
.commentaire : Mi piace molto Napoli, e sete gli più belli
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